Un regard se dessine

 

Il débusque l’esthétique, la sensualité, l’intimité d’un instant

dans un détail, dans un fragment, dans une anfractuosité que son regard saisit.

Il évoque des paysages sur des parcelles de matière.

Attentif à sublimer sa myopie, il privilégie les cadrages serrés qui compensent sa vision floue.

Sa deuxième rétine chasse avec cette obligation d’intensité qui donne une force suggestive à ses images.

Mon Paris

Dedicated to my love for this city where I have lived for 40 years.

Of course, it has been photographed millions of times but I wanted to create concordances, simultaneities by bringing together places, atmospheres that inspire me.

Sacré Profane

Tandis qu’autour de lui tout s’accélère, Bellec prend le temps, le temps d’écouter son intuition et de porter son regard sur les rues, les villes, les pays qu’il arpente.

Entre d’Eux

En terme artistique, le triptyque est une œuvre peinte et/ou sculptée qui est principalement composée de trois panneaux jointifs latéralement.

Flaques de lumière

J’aime Paris, ses rues et son effervescente multiplicité. J’ai pris des photos de Paris la nuit, sous la pluie, avec des piétons qui marchent, pressés, sans regarder ce que les reflets de néons, de lampadaires ou autres enseignes lumineuses viennent « dessiner » sur les trottoirs mouillés. 

Fototriptycs

C’est après des années de prises de vue que j’ai pu constater que ma myopie s’est focalisée sur les cadrages serrés. Selon moi, ils permettent de magnifier la chair des couleurs et des matières grâce à la lumière.

Mur(mur)s

Chaque mur renferme ses secrets que l’on peut imaginer à travers son aspect, ses couleurs . Ces photos de murs sont toutes des photos non retouchées.

La Belle et… Le Brut

Mon travail s’est toujours caractérisé par le traitement des couleurs  en aplat, la vibration des formes et le jeu sur les matières.

Mes prises…

« Nous allions passer l’un à coté de l’autre rapidement, sans que nos vies se croisent, quand ton regard a accroché mon objectif. Les mots que nous n’avons pas échangés se bousculaient dans l’intensité de tes pupilles !!

J’ai projeté ton histoire sur un fond que l’environnement dans lequel nous étions me tendait, âpre, dur, délabré, imprégné que j’étais de ma propre imagination.

Si je t’avais écouté, j’aurais peut-être appuyé ton portrait sur des tissus souples et chatoyants, de tendres crépis, des prairies verdoyantes….

 

Me suis-je mépris ? »

 

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